SOUTERRAIN
Tentative de rangement de mon bureau-atelier parisien
DidierSribny.top
1974
,
Georges
Pérec
s’installe
trois
jours
place
Saint
Sulpice
à
la
terrasse
du
‘’Café
de
la
mairie’’ avec l’idée d’épuiser ce lieu parisien.
C’est
ignorant
sa
démarche
qu’une
nuit
de
cette
même
année
1974,
à
deux
pas
du
lieu
où
il
notait
le
jour
tout
ce
qui
lui
tombait
sous
les
yeux,
installé
au
‘’Birdland’’,
du
haut
d’un
‘’tabouret
de
bar
au
repose-cul
carré
verni
foncé
brillant
sur
tranche",
m’est
venue
l’idée
de
jeter
sur
le
papier
ce
que
je
voyais
et
entendais
‘’
Écrire
quoi
?
Rien,
tout
et
n'importe
quoi.
Rien
que
pour
voir.
Rien
dans
la
tête,
rien
dans
les
manches.
Une
expérience
comme
ça.
Juste
pour
voir.‘’
De
la
musique
de
jazz
en
toile
de fond.
Une
expérience
reprise
deux
autres
fois,
à
plusieurs
années
d’intervalle,
la
dernière
en
1991,
dix
sept
ans
plus
tard,
la
nuit,
même
quartier
même
lieu
même
bar,
et
toujours
la
musique de jazz.
En
sortira
quarante
sept
ans
plus
tard
un
texte
de
trente
huit
pages
portant
le
titre
Souterrain
précédé d’un
court texte,
L’effet papillon
.
texte,
38
pages.
.
pitch